Le Monde.fr, 9 mars 2009 - Décidément, le Royaume-Uni n'en finit pas de payer la facture de la folle décennie écoulée, livrée à la spéculation financière la plus effrénée. Le Lloyds Banking Group en est aujourd'hui à son tour la victime. En assurant à hauteur de 260 milliards de livres (290 milliards d'euros) ses actifs risqués, l'Etat détient désormais 65 % du capital de la première banque de détail britannique.
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A la prochaine ...
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