mercredi, novembre 26, 2008

Une valse à plusieurs temps ?

A lire cette analyse de Renaud Belleville sur la valse inégale des patrons parue aujourd'hui dans le quotidien les échos.fr.

"C'est dans la tempête qu'on discerne les meilleurs capitaines. Mais si la plupart des conseils d'administration des grandes entreprises ont élaboré des méthodes précises pour récompenser les performances de leurs dirigeants, il n'en va pas de même pour sanctionner d'éventuelles contre-performances. Les valses récentes de quelques grandes figures du CAC 40, de la banque ou des services, répondent à des logiques disparates.
Si le départ de Serge Tchuruk et de Patricia Russo d'Alcatel-Lucent paraît justifié tant le groupe français était victime depuis des années d'erreurs stratégiques, la sanction peut sembler tardive. Le conseil qui s'y est résolu a sans doute vu davantage la paille qui obstruait la vision des dirigeants que la poutre qui l'aveuglait lui-même quand il approuvait leurs décisions et les rémunérait grassement"
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A la prochaine ...

1 commentaire:

Anonyme a dit...

Je ne sais si nous pouvons vraiment représenter la chose ainsi.
En d'autres termes, en cas d'une tempête sur l'océan, le capitaine n'a pas d'influence sur les éléments, il ne peut influencer que dans les limites du bateau qui le porte. Or ici il n'en est rien, puisque l'homme est une partie du système qu'il va lui-même influencer. Ces données sont différents concepts, différents choix de société, ainsi, il rencontre un concept français qui défend que la seule richesse d'une Nation c'est l'homme, il rencontre d'autres concept comme celui qui mécanise sur des croyance d'anciennes perfections qui se débarasse de l'homme puisque celui-ci est jugé imparfais, il rencontre encore l'idée que l'homme court après le gain et donc qu'il est corvéable à souhait. Naviguer c'est l'art d'associer des concepts qui ne vont pas toujours ensemble, et qui font la société dans laquelle nous nous trouvons.
Cordialement
Cordialement