Dans l'édition d'aujourd'hui du journal les échos.fr, M. Le Boucher offre un bel article consacré aux dividendes du courage (ici).
Résumé : Les débats politiques et intellectuels sont rarement tranchés sur le beau champ des arguments. En cas de crise, ils ne le sont jamais. Il le sont par une horrible personne : madame Nécessité. C'est à elle que l'histoire donne raison. Il devrait en être ainsi du partage des profits. « Un tiers pour l'investissement, un tiers pour les dividendes, un tiers pour les salariés », a posé par principe le président de la République. Un principe éminemment contestable à beaucoup de points de vue : est-ce au politique de décider ? Les situations sectorielles ne sont-elles pas trop dissemblables ? Un principe hors des réalités aussi, puisque le chiffre concret en France de la part des profits distribuée aux salariés sous forme d'intéressement est d'environ 6 % seulement. On peut rêver de 33 % ...
A la prochaine ...
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