L’ORSE, en partenariat avec PwC, publie
un état des lieux sur l’intégration, par les entreprises françaises, de critères
RSE dans la rémunération variable de leurs dirigeants et de leurs
managers. Ce rapport en date du 7 juin 2012 est intitulé "Comment intégrer des critères RSE dans la rémunération variable des dirigeants et des managers ?"
Si de nombreuses entreprises ont mise en place une démarche RSE, cette approche ne vaut que si elle
implique l'ensemble des collaborateurs. Afin de renforcer leur politique de
développement durable et inciter leurs salariés à se mobiliser au quotidien,
certaines entreprises ont intégré des critères RSE dans la rémunération variable
de leurs dirigeants et managers. Cette démarche demande de la préparation et la
pertinence et la faisabilité des critères RSE sont primordiales pour être
crédibles à côté des critères financiers. L'étude présente les pratiques de sept
sociétés (Crédit Agricole, Danone, La Poste, France Télécom-Orange, Rhodia
(membre du Groupe Solvay), Schneider Electric et Vivendi) et dresse un état des
lieux des différentes solutions décrites par les entreprises interrogées en
fonction de l’étape dans laquelle elles se situent. Enfin, elle recense les
questions à se poser, les écueils à éviter, et propose une structuration de la
démarche pour aboutir à un dispositif efficace.Comment assurer la cohérence des indicateurs RSE sélectionnés avec la
stratégie RSE de l’entreprise ? A quelles populations ce dispositif doit-il être appliqué
(dirigeants/managers) ? Sur quel périmètre géographique ? Quels critères sélectionner ? Les managers et dirigeants ont-ils les moyens pour atteindre les objectifs
RSE assignés ? Quelle implication envisager de la part des institutions représentatives du
personnel ? Comment intégrer ce dispositif de pilotage RH avec les autres processus RH
(entretien annuel d'évaluation, formation et développement des talents,
baromètre social...) ?
Cliquez ici pour télécharger le rapport.
A la prochaine...
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