Voilà une affaire bien intéressante que celle qui se déroule en France en ce moment (affaire Rhodia). Depuis cette affaire, qui ose encore affirmer que la communication environnentale ou que celle au développement durable n'aurait pas de prise dans le droit ?
Lire cet article du Monde ici ... « A en croire ces pièces, Rhodia n'aurait pas correctement informé le marché sur les "risques environnementaux". L'information sur ces risques est qualifiée de "très insuffisante". Une quarantaine de sites sont mentionnés. Or plus d'une centaine nécessitaient de lourdes provisions. De même les règles de transparence n'auraient pas été respectées lors du rachat, en 2000, par Rhodia, de la société britannique de phosphates Albright & Wilson. La réalité des liens entre le groupe chimique et cette société aurait été dissimulée pour améliorer à la fois l'image des comptes de Rhodia et de Rhône-Poulenc en passe de fusionner avec Hoechst ».
A la prochaine ...
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