That the credit agencies have conflicts of interest is not new, but that doesn't mean nothing should be done about it. If debt investors won't pay for ratings, and others have to foot the bill, fine. But financial engineers like Coventree and rating firms like DBRS should be forced to be far more transparent about the products they're pushing. “If not, people don't know what they're investing in,” says Scott Reid, founder of Stornoway Capital, a debt investment firm. “They're overreliant on the credit agency.”
Public companies have to give financial statements every three months. Public mutual funds have to reveal all every six months. All of this is available for free on the Internet. Yet Coventree was allowed to collect billions of dollars with very little disclosure of where the money was going and with inadequate backup from the banks. How? Someone – think regulators and credit agencies – fell asleep here.
Dans ce contexte, les firmes de notation, qui avaient pris charge de surveiller le risque de ces titres de PCAA, donne l'impression d'avoir fait de coûteuses erreurs de jugement. On le soupçonne aussi d'avoir trop tardé à sonner l'alarme, par crainte présumée de nuire à une partie de leur clientèle: les émetteurs et gestionnaires de PCAA.Je partage en grande partie l'opinion de De Cloet et Vallières, ayant eu l'occasion d'analyser le rôle des agences de notation de crédit (voir ici). Il serait grand temps que les régulateurs s'intéressent sérieusement aux agences de notation. Le Sénat américain s'apprête à tenir des audiances cet automne sur ces dernières. De notre côté, Martin Vallières rapporte que Au Canada, les autorités financières demeurent muettes envers le rôle des firmes de notation.
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