Lorsque la bombe des subprimes a éclaté aux Etats-Unis en août 2007, peu d'économistes se sont inquiétés des répercussions hors du secteur de la finance. Leurs modèles intégraient peu de variables financières. Il y avait toujours de riches investisseurs pour aider les établissements bancaires, les banques centrales et soutenir les marchés. Or c'était folie que de prendre ces événements avec autant de calme. Car les maux du secteur financier ont contaminé l'économie. Et le monde connaît la récession la plus grave depuis les années 1930. Les marchés financiers sont repartis, mais les pays ont une croissance au mieux poussive et le chômage s'étend. Personne ne sait si le cocktail de mesures monétaires et de dépenses publiques permettra de sortir de ce marasme, tant les signes de reprise sont fragiles. Lire la suite ici.
A la prochaine ...
1 commentaire:
Le soutien massif des Etats a permis de limiter le ralentissement sans pour autant corriger les problèmes de fond. Aujourd'hui, le manque de crédit affecte considérablement l'économie. Avec un chomage en nette hausse, et des fermetures d'entreprises, l'éclaircie tant annoncée ne semble pas encore en mesure de pouvoir se dessiner.
Publier un commentaire