mercredi, avril 27, 2011

Où et comment communiquer en matière de RSE ?

Je vous invite à vous rendre sur le blogue de Harvard consacré à la gouvernance d'entreprise. Vous y trouverez un très intéressant article consacré sur le comment et le où communiquer dans le domaine de la RSE (What Board Members Should Know About Communicating Corporate Social Responsibility) ? A l'heure où les discussions foisonnent sur la transparence (à titre d'exemple, je pense au décret Grenelle II en France qui se fait attendre), cette étudetombe à un bon moment en alimentant la réflexion ...


Abstract : Since creating stakeholder awareness is a key prerequisite for reaping the strategic benefits of any business initiative, it is imperative for board members and senior executives instituting a social responsibility program to have a deeper understanding of the key issues related to CSR communication. This report discusses what to communicate (i.e., message content) and where (i.e., message channel), as well as the major factors (internal and external to the organization) that affect the effectiveness of CSR communications.

Accéder à cet article ici.

A la prochaine ...

1 commentaire:

Anonyme a dit...

OU S’ARRÊTERA DONC L’IMBÉCILLITÉ HUMAINE ?

Voilà avec l’ISR que notre épargne serait une cause du changement climatique !
Voilà qu’avec le RSE les entreprises auraient une responsabilité dite sociétale sur notre environnement !

Nous sommes repartis avec cet inénarrable concept d’Investissement Socialement Responsable – les initiés de la secte doivent dire IRS – dans la voie où nous mène la crise financière mondiale où ne faisons qu’entrer ; ceci en considérant que la création monétaire se fait par génération spontanée de la monnaie : l’argent crée l’argent.

Nous oublions simplement que le crédit et l’investissement qu’il permet, ne sont que des outils au service de l’homme qui par ses activités va créer de la monnaie. Il est donc aberrant de prétendre qu’épargne, crédit ou investissement ont une responsabilité sociale, ou sur le développement prétendu durable.
Il est encore plus aberrant, voire d’une stupidité sans précédent, d’inviter les épargnants comme le font certains n’ayant pas le sens du ridicule, à réfléchir plus sur l’importance de l’empreinte carbone de leur épargne, que sur l’air qu’ils pompent aux autres en s’essoufflant dans des actions ou discours inutiles.

Il est un investissement socialement responsable, le seul auquel on devrait raisonnablement s’intéresser, c’est celui de tout Homme qui par son travail, son investissement personnel, gagne son pain à la sueur de son front, participant ainsi à la seule création monétaire qui puisse avoir une valeur et que le crédit ne fait qu’anticiper.

Edgar Rice Burrougs disait : « L’argent, le principe est que si vous en avez c’est que quelqu’un d’autre en a besoin ! ». Cet argent que nous fabriquons par notre travail, cet autre qui en a besoin en fait absolument ce qu’il en veut, et même s’il s’en sert pour fabriquer des bombes et émettre CO2, ou pets et rots méthaniques nous ne saurions avoir en cela une quelconque responsabilité.

Il est une empreinte carbone qu’il serait essentiel que l’on mesurât, ce que l’on se garde bien de faire, c’est celle de tous ces inutiles - en particulier ces 600 000 qui trouveront un emploi bidon d’ici 2020 dans les secteurs de L’ISRE, SRE, et autres âneries - qui vivent au crochet de ceux qui travaillent utilement, et qui seraient mieux inspirés au lieu de nous pomper l'air, de garder leur souffle pour la phase terminale de leur digestion !

Seule la bêtise humaine peut donner une idée de l’infini, dit-on en restant poli, elle s’inscrit en outre parfaitement dans le « durable » tellement à la mode ! Les initiés de l’ISR et de la RSE l’exploitent admirablement bien pour tirer de gros profits.