Les suites de la crise des prêts hypothécaires à risque chez Citigroup et Merrill Lynch laissent perplexes les observateurs intéressés à la gouvernance. Il y a quelques jours, je m'interrogeais, comme d'autres, sur la surveillance des chefs de la direction par les administrateurs. Aujourd'hui, le Wall Street Journal (voir ici) souligne une autre lacune potentielle des conseils d'administration de ces institutions financières: l'absence de préparation à trouver une relève.
The dual dramas at Citigroup and Merrill underscore how unprepared much of Wall Street has been for the management shake-ups that have accompanied the credit-market turmoil. The boards at both companies were left scrambling to name even interim leaders to replace them.
Les pratiques exemplaires exigent depuis longtemps que les conseils prévoient une relève au chef de la direction. Évidemment, passer de la théorie à la pratique est toujours complexe et il serait injuste de s'attendre à ce que ces institutions se retrouvent du jour au lendemain avec un nouveau chef de la direction. Cependant, les conseils devraient avoir des processus en place pour mener à la nomination d'un chef de la direction intérimaire et encadrer la recherche d'un successeur.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire